Les Pays lointains
Publication
Paris : France loisirs, 1988
Importance matérielle
890-XI p. : ill. : 23 cm
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Résumé
Ayant quitté un Londres sinistre et après une traversée difficile avec Mrs. Escridge, sa mère ruinée, à seize ans, Elizabeth arrive à Dimwood, riche plantation de Géorgie où un parent, William Hargrove, les recueille. Vont-elles l’une recommencer sa vie et l’autre commencer la sienne dans ce pays inconnu où l’hiver n’existe pas, au milieu des magnolias et des roses ? La plantation heureuse cache, cependant, bien des drames. En 1850, les Etats-Unis n’ont jamais été aussi près d’une rupture entre Sud et Nord. La Sécession est dans l’air. Elizabeth croit que rien n’arrive jamais, lorsque, un soir de bal, elle voit Jonathan. Bien entendu, c’est toujours la personne qui n’est pas pour vous, celle ou celui contre qui on vous met en garde, l’ennemi en somme, qui fait battre votre cœur. L’amour ne connaît aucun interdit.
La vie, autour de la jeune Anglaise dont la beauté blonde fait des ravages, s’organise à Savannah, puis en Virginie chez un ami de la famille, « Oncle » Charlie. Là, c’est le tourbillon des fêtes de la société, et la foule des jeunes cousins et cousines, des amis, des serviteurs des Noirs parmi lesquels Betty, vieille femme maternelle, dévouée de tout son âme, et une énigmatique Galloise, Miss Llewelyn, qui régente la plantation de Dimwood et joue secrètement les entremetteuses pour Elizabeth et Jonathan. Celui-ci a épousé une belle femme riche qui a dans les veines un peu de sang noir. Aussi a-t-elle emmené son jeune époux en Europe, à Vienne, où cela n’a aucune importance pour être « reçue ».
Disponibilité Type Médiathèque
En réserve Livres Le Nouvion-en-Thiérache