Polyeucte vivait en l'ann©♭e 250, sous l'empereur D©♭cius. Il ©♭tait arm©♭nien, ami de N©♭arque, et gendre de F©♭lix, qui avait la commission de l'empereur pour faire ex©♭cuter ses ©♭dits contre les chr©♭tiens. Cet ami l'ayant r©♭solu ©  se faire chr©♭tien, il d©♭chira ces ©♭dits qu'on publiait, arracha les idoles des mains de ceux qui les portaient sur les autels pour les adorer, les brisa contre terre, r©♭sista aux larmes de sa femme Pauline, que F©♭lix employa aupr©·s de lui pour le ramener ©  leur culte, et perdit la vie par l'ordre de son beau-p©·re, sans autre bapt©®me que celui de son sang. Voil©  ce que m'a pr©®t©♭ l'histoire ; le reste est de mon invention. A mon gr©♭ je n'ai point fait de pi©·ce o©£ l'ordre du th©♭©Øtre soit plus beau, et l'encha©ʾnement des sc©·nes mieux m©♭nag©♭. Les tendresses de l'amour humain y font un si agr©♭able m©♭lange avec la fermet©♭ du divin, que sa repr©♭sentation satisfait tout ensemble les d©♭vots et les gens de monde. Tout pour aimer et comprendre aujourd'hui une “uvre d'un grand ©♭crivain, en texte int©♭gral. Une pr©♭sentation vivante, illustr©♭e, qui favorise des parcours de lecture en libert©♭.